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Papa et maman sont morts est le premier roman de Gilles Paris publié en 1991. Suivent Autobiographie d'une courgette (publié en 2001) et Au pays des kangourous (publié en 2012). 

  

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Papa et maman sont morts, la mer les a avalés. Alice et son frère cherchent des parents d'adoption. En rayon : l'oncle Paul, chasseur de mouches avec les plis de son ventre, Bérénice, folle d'amour pour Tom, qui a des muscles mais pas de coeur, et Mme Knop, l'institutrice, qui aime tant nager nue la nuit. Ce n'est pas gagné ! Peu importe, les deux enfants sont ensemble, tous les deux.

 

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J'ai découvert Gilles Paris grâce Au pays des kangourous, son dernier roman qu'il a eu la gentilesse de m'offrir dédicacé (pour voir la dédicace, c'est par ici). Ayant beaucoup aimé ce livre, je me suis rapidement procuré ses deux autres romans. Après quelques mois, je me suis enfin décidé à sortir l'un deux de ma PAL : Papa et maman sont morts.

 

Avant de vous donner mon avis sur ce petit livre, je dois vous dire qu'il m'a fait penser, et là j'espère sincèrement ne pas dire de grosses bêtises , à du Amélie Nothomb (même si je ne suis pas une experte en Nothomb étant donné que je n'ai lu qu'un seul de ses romans). Je ne saurais trop vous dire pourquoi mais je pense que c'est en rapport avec le style d'écriture, les petits chapitres....

 

Pour tout vous dire, j'ai une nette préférence pour Au Pays des kangourous. C'est un livre que j'ai trouvé vraiment très émouvant et plein de poésie. Bien que le début de Papa et maman sont morts soit émouvant lui aussi (du fait que le livre parle d'orphelins), j'ai eu un peu de mal avec la relation " anormal " qui unit le frère et la soeur.

 

Mis à part cette relation que j'ai trouvé " dérangeante ", j'ai trouvé l'histoire poignante. Alice et son frère, après la mort tragique de leur parents, essayent tant bien que mal de se reconstruire une famille. Pour se faire, ils tomberont sur des personnages hauts en couleurs : un oncle méchant, une institutrice aimante, une femme qui meurt d'amour... Certains de ces personnages sont très touchants. La fin, quant à elle, met du baume au coeur et laisse présager un futur plus radieux.

 

Je souhaite conclure cette petite chronique avec une citation tiré de la page 47 : " Quand tu auras lu tous ces livres, tu ne seras plus la même. Les gens se ressemblent trop, ils ne lisent pas assez. Ne deviens pas comme eux. "

  

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Tom : " Joli avis que je confirme :). "

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